Abi '91 an der Klaus-Harms-Schule Kappeln - Die Zeitung - |
v.l.n.r.:
Helge,
Ulf M.,
Isa,
Inga,
Tanja,
Annette,
Yvonne,
Herr Schildberg-Schroth es fehlt: Sabine |
Il se fait remarquer que nous avons beaucuop discuté (souvent en allemand!) de la RDA, de la protection de la nature et de la ministère de l'éducation nationale et de la culture. Nous avons constaté que Helge et M. Schildberg-Schroth avaient toujours des opinions différentes. Bien que M. Schilberg-Schroth ait des idées révolutionaire-innovatrice concernant le système scolaire y sont quandmème au contraire; dans ses leçons il se presente d'une manière konsavateur. Mais de temps en temps il a égayé ses leçons en racontant des histoires de sa jeunesse où nous avons réconnu que m. Schildberg-Schroth est vraiment un maître de ce metier.
Non seulement que nous nous sommes amusés quand il parlait de son école mais nous avons ri aussi beaucoup pendant qu'il racontait ses expériences en France, spécialement avec les serpents dans le Massiv Central; citation (l'entretien avec Sophie sur les serpents: Sophie: ``Die Schlangen haben doch mehr Angst vor Dir als Du vor ihnen!'' Schildberg-Schroth: ``Das kannst Du doch gar nicht wissen!'').
Pour ceux, qui pouvaient suivre ce texte assez compliqué jusqu`ici: La composition et les fautes ! représentent un travail typique de notre cours - on en a fait assez ...
... mais le maître lui-même:
``On parle français.''
Nach einem jahrelangen zähen Dreikampf (résumez! analysez! commentez!), auf zugegeben recht literarischer Basis, kann jeder Kursteilnehmer beruhigt diesen Titel nach Hause tragen. (Für eine ``baguette'' und einen ``vin rouge'' in Frankreich wird's auch reichen.) War die Zeit auch ein Kampf für den Lehrer? Der Kurs war pflegeleicht und ausgeglichen; gelegentliche ``Probleme'' mit der Pünktlichkeit? - vergeben und vergessen!
38, 39
[Leistungskurse] |